Futurons

Login et outils

Les retraites du futur

 — 8 décembre 2019
En finir avec la distinction entre travail et retraite ? Créer un « compte épargne vie » pour cesser de travailler quand on le souhaite ? Décroître et avancer l’âge de la retraite à… 50 ans ? Trois scénarios possibles pour le futur de la retraite.

Autres éclairages

Le travail a-t-il un avenir ?
L’automatisation du travail, objet d'angoisses et de fantasmes, oppose deux camps. D'un côté, les techno-pessimistes, pour qui un futur sans travail plongerait l’humanité dans une guerre civile mondiale entre une élite de rentiers possesseurs de machines et d’algorithmes et la majorité de l’humanité, condamnée au chômage technologique et à l’inutilité sociale. D’un autre côté, on trouve les techno-optimistes, pour qui le rêve anti-capitaliste d’un monde d’abondance et sans travail est enfin à la portée de la main. Aaron Benanav, auteur d'Automation and the Future of Work n’est ni technophile, ni technophobe, pour lui la source du chômage et du sous-emploi chronique n’est pas technologique, mais économique. Il faut la chercher dans la stagnation séculaire de l’économie.
Le Grand Continent
 — novembre 2020
Robots, vers la fin du travail ?
Cinq scénarios pour les futurs du travail dans le contexte de la quatrième révolution industrielle
Paris School of Economics
 — avril 2017
Le travail en 2053
Avec l’allongement de l’espérance de vie, en 2053, les individus travaillent plus longtemps mais sur plusieurs périodes courtes. Le rapport entre vie privée et vie au travail est désormais favorable à la première. Et l’enjeu est bien encore celui du sens à donner au travail.
ANACT
 — novembre 2013
The Future of Jobs Report 2020
La récession et l'automatisation modifient l'avenir du travail, mais de nouveaux postes sont à venir, selon le dernier rapport du Forum Économique Mondial
Forum Économique Mondial
 — octobre 2020
Un monde sans travail
Depuis vingt ans, les politiques ne parviennent plus à endiguer le chômage de masse. Les machines "intelligentes", plus fiables et moins coûteuses que les humains, sont en passe de nous remplacer tandis que l'essor des algorithmes contribue à l'automatisation croissante du travail. La prochaine cible de cette quatrième révolution industrielle : les cols-blancs, le coeur de la classe moyenne, en France comme partout ailleurs dans le monde. À la marge, du côté de la société civile, les idées et les initiatives se multiplient pour tenter de faire face à cette disparition du plein-emploi.
Philippe Borel
 — janvier 2017