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Les 8 règles de la « Passion Economy » selon Davidson

 — 4 septembre 2020
« L’économie de la passion », définit une économie dans laquelle les individus et les entreprises doivent abandonner la course à la grande taille et aux économies d’échelles au profit d’une offre basée sur l’intimité et la personnalisation. Ce concept rencontre un grand succès dans la Silicon Valley et parmi les créatifs, mais pas que. Lecture rapide de The Passion Economy (2020) d'Adam Davidson.

Autres éclairages

L’organisation à la demande dans l’économie des plates-formes numériques
Quels obstacles rencontrent les travailleur.se.s des plates-formes numériques au niveau de la liberté syndicale et de la reconnaissance effective du droit de négociation collective ? Quelles stratégies de la part de ces travailleur.se.s pour mettre en œuvre une mobilisation collective et promouvoir une réglementation efficace des plates-formes de travail numérique.
Organisation Internationale du Travail
 — août 2019
Comment la blockchain va changer la gouvernance des entreprises
En proposant une nouvelle façon d’appréhender les contrats et en contournant les dilemmes traditionnels de la théorie de l’agence, la blockchain pourrait bien signer la fin des structures centralisées et hiérarchiques traditionnelles avec l’émergence de nouvelles formes d’organisations.
The Conversation
 — octobre 2017
Le travail que vous faites compte autant que la manière dont vous travaillez
Le travail est une forme de l'être ensemble. Reconnaissance, considération, accomplissement dans le geste sont plus importants que les raisons pour lesquelles nous croyons aller "au boulot". Et comme on finit toujours par ressembler au paysage, il faut soigner l'environnement où se déroulent les heures ouvrées.
Eranos
 — août 2020
Le travail a-t-il un avenir ?
L’automatisation du travail, objet d'angoisses et de fantasmes, oppose deux camps. D'un côté, les techno-pessimistes, pour qui un futur sans travail plongerait l’humanité dans une guerre civile mondiale entre une élite de rentiers possesseurs de machines et d’algorithmes et la majorité de l’humanité, condamnée au chômage technologique et à l’inutilité sociale. D’un autre côté, on trouve les techno-optimistes, pour qui le rêve anti-capitaliste d’un monde d’abondance et sans travail est enfin à la portée de la main. Aaron Benanav, auteur d'Automation and the Future of Work n’est ni technophile, ni technophobe, pour lui la source du chômage et du sous-emploi chronique n’est pas technologique, mais économique. Il faut la chercher dans la stagnation séculaire de l’économie.
Le Grand Continent
 — novembre 2020
Robots, vers la fin du travail ?
Cinq scénarios pour les futurs du travail dans le contexte de la quatrième révolution industrielle
Paris School of Economics
 — avril 2017