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Le travail en 2053

 — 1 novembre 2013
Avec l’allongement de l’espérance de vie, en 2053, les individus travaillent plus longtemps mais sur plusieurs périodes courtes. Le rapport entre vie privée et vie au travail est désormais favorable à la première. Et l’enjeu est bien encore celui du sens à donner au travail.

Autres éclairages

The Nature of Fashion
What would the fashion industry look like if it acted like a natural ecosystem?
Biomimicry Institute
 — juin 2020
La transition énergétique au cœur d’une transition sociétale
Le scénario négawatt 2022 pour une neutralité carbone à l'horizon 2051, basée à 96% sur les énergies renouvelables.
négawatt
 — octobre 2021
Comment la blockchain va changer la gouvernance des entreprises
En proposant une nouvelle façon d’appréhender les contrats et en contournant les dilemmes traditionnels de la théorie de l’agence, la blockchain pourrait bien signer la fin des structures centralisées et hiérarchiques traditionnelles avec l’émergence de nouvelles formes d’organisations.
The Conversation
 — octobre 2017
Le travail que vous faites compte autant que la manière dont vous travaillez
Le travail est une forme de l'être ensemble. Reconnaissance, considération, accomplissement dans le geste sont plus importants que les raisons pour lesquelles nous croyons aller "au boulot". Et comme on finit toujours par ressembler au paysage, il faut soigner l'environnement où se déroulent les heures ouvrées.
Eranos
 — août 2020
Le travail a-t-il un avenir ?
L’automatisation du travail, objet d'angoisses et de fantasmes, oppose deux camps. D'un côté, les techno-pessimistes, pour qui un futur sans travail plongerait l’humanité dans une guerre civile mondiale entre une élite de rentiers possesseurs de machines et d’algorithmes et la majorité de l’humanité, condamnée au chômage technologique et à l’inutilité sociale. D’un autre côté, on trouve les techno-optimistes, pour qui le rêve anti-capitaliste d’un monde d’abondance et sans travail est enfin à la portée de la main. Aaron Benanav, auteur d'Automation and the Future of Work n’est ni technophile, ni technophobe, pour lui la source du chômage et du sous-emploi chronique n’est pas technologique, mais économique. Il faut la chercher dans la stagnation séculaire de l’économie.
Le Grand Continent
 — novembre 2020