Il en allait de même pour la forêt : elle n’était jamais si éloquente que silencieuse, quand nul vent n’en agitait le feuillage. Alors montaient des profondeurs, des racines jusqu’au faîtes des arbres, ces pensées d’abîmes qui ne sont qu’éloges de la lumière et nostalgie d’un ancien rayonnement.