D’ores et déjà apte à détecter la présence d’un cancer du sein, des poumons, du cerveau ou de la peau, l’IA sera désormais capable de discerner si elle a besoin d’une intervention humaine ou non, grâce à des chercheurs du MIT qui ont ont développé un système de Machine Learning capable de décider s’il peut faire son propre diagnostic ou s’il doit faire appel à un expert de la santé.
Pourtant, cette tâche n’est pas aussi simple qu’elle en a l’air. En effet, savoir qui est « meilleur » pour faire un diagnostic n’est pas aussi évident qu’il paraît car le programme doit prendre en compte de nombreux facteurs, notamment le nombre d’années d’expérience ou la disponibilité de divers experts pour faire son choix.