« Personne n’a besoin d’une telle machine. Les gens s’achètent du respect au travers du matérialisme et en valorisant l’accumulation économique. L’enfer nous est apporté par le consumérisme, par les excès et par l’ego », explique, dans une vidéo, l’artiste Michelle Tylicki. Elle a choisi de représenter un SUV Lamborghini dans un paysage d’enfer du XVIème siècle emprunté au peintre flamand Jérôme Bosch.
En novembre 2015, les artistes de Brandalism s’étaient faits connaître en recouvrant 600 panneaux publicitaires de la ville de Paris pour dénoncer les « mensonges » des grandes marques, sponsors de la COP 21 qui s’ouvrait.