Le 27 mai dernier, deux grottes aborigènes vieilles de 46.000 ans avaient été réduites en poussière par l’entreprise minière Rio Tinto. Aujourd’hui, malgré la démission du patron du groupe face à l’indignation générale suscitée par ces dynamitages, le Guardian révèle que 124 sites aborigènes supplémentaires sont menacés par l’activité du géant minier.